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25 octobre 2016 2 25 /10 /octobre /2016 06:55

Le synopsis de Marabulles :

 

« L’enfance et l’éducation d’une jeune fille qui va devenir une des plus brillantes intellectuelles du 20ème siècle et une des féministes les plus engagées.Un récit qui s’attache à montrer le parcours d’une toute jeune femme dont la passion pour les lettres et la connaissance est née dès l’enfance, dans un milieu et à une époque où il n’était pas si facile d’être une femme libre. »

 

La Maison Marabout nous propose au travers de sa structure vouée aux BD, Marabulles un biopic sur Simone de Beauvoir. Ce travail difficile a été confié à deux personnes qualifiées pour. Sophie Carquain est journaliste. On connait son style et sa capacité professionnelle à synthétiser et à relater et cela n'a pas été de trop pour nous proposer en 128 pages la vie de cette grande Dame du Xxe siècle. Feministe, philosophe, essayiste, romancière ou encore la compagne de Jean Paus Sarthe. Sa bissexualité a une époque durant laquelle ce n'est pas toléré lui vaut les foudres de l'éducation nationa le. C'est donc une personnalité hors norme qu'il faut présenter. Au delà des mots, il faut faire un travail de découpages en planches et soigné la narration. Vient le travail du dessinateur. C'est là qu'intervient Olivier Grojnowski qui apporte son travail graphique et son expérience qui ne sont pas de trop. Au final c'est un joli travail. L'ensemble est cohérent et intéressant. Arriver à faire une synthèse en BD de ce personnage complexe sans ce que soit austère et ennuyeux est un tour de force. C'est sorti et c'est à découvrir.

 

Olivier Grojnowski connu également sous le pseudo de O’Groj nous vient de l’École Supérieure des Arts Graphiques de Paris. Il passe ensuite par l’École des Beaux-Arts d’Angoulême. Il en sort iplômé en 1986. Il y côtoie notamment Nicolas de Crécy. Il collabore à la revue (A Suivre) à partir de 1989, avec une série de Brèves comico-délirantes, reprises chez Casterman en 1993 dans Au fil du rasoir.Il collabore avec Franck Margerin pour Manu et travaille sur l’illustration publicitaire pour le compte de grandes entreprises. C’est avec la série des ''DRAGZ'' qu’il dessine pour Spirou, qu’il revient d’abord à la BD, avant d’opérer son grand retour chez Casterman avec La semaine des 7 Noël.

 

Sophie Carquain est journaliste et écrivain jeunesse. Elle a été en charge de la rubrique « Enfants » au Figaro Madame et écrit des articles de psycho, société et humeur pour Le Figaro et le magazine Parents. Ellle est journaliste, écrivain. Elle a écrit plus de 200 histoires, contes et romans pour enfants traduits en plusieurs langues. Elle est co-auteur avec Maryse Vaillant de quatre ouvrages dont Entre soeurs. Elle est lauréate du prix "Griffe Noire" (2005), pour "Petites histoires pour devenir grand" (tomes 1 et 2). 

 

Simone de Beauvoir, une jeune fille qui dérange de Sophie Carquain et Olivier Grojnowski chez Marabulles.
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21 octobre 2016 5 21 /10 /octobre /2016 06:55

La Bande Dessinée est à l'honneur en ce moment. Outre les parutions sur Hergé ou sur Astérix. Outre l'exposition sur Hergé au Grand Palais. Voici une exposition sur Walt Disney. Certes cette exposition concerne l'animation mais tout part du dessin. Il est à l'honneur. C'est à travers une sélection d' oeuvres d’art majeures, pas loin de 420 que cette exposition, conçue par l’équipe du Musée Art Ludique en collaboration avec la Walt Disney Animation Research Library,  rend hommage à la modernité et au talent de l'équope dès sa genèse. De nombreux films d’animation Disney sont devenus de grands classiques du cinéma. Dès le premier long métrage « Blanche-Neige et les Sept Nains » en 1936 jusqu'au plus récent « La Reine des Neiges ». L’exposition montre à quel point la dynamique fut novatrice et amena des progrès techniques et artistiques majeurs.

Walt Disney est l'un des plus grands artistes de notre temps. En 1935, il annonce : « Je sens que nous ne pouvons assurément pas faire de choses merveilleuses, basées sur le réel, à moins de d’abord connaître le réel ». Grâce à l’organisation de séances de poses de modèles vivants ou la venue d’animaux au sein du studio, les artistes observent démarches et mouvements, qu’ils réinterprètent de manière unique dans les films. L’exposition dévoile des dessins et c'est là le lien avec le 9ème art, et des études inédites. Beaucoup de plaisir à voir et à revoir ces chefs d'oeuvre. Cette exposition se déroule du 14 octobre au 5 mars. Espace "le Musée", 34 quai d'Austerlitz dans le 13e arrondissement de Paris.

Exposition Walt Disney – Le mouvement par nature du 14 octobre au 5 mars 2017.
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18 octobre 2016 2 18 /10 /octobre /2016 06:55

Eh oui vous vous souveniez du film mais vous n'avez pas lu le livre. C'est normal. Il n'y en a pas eu. En fait les planches sont sorties en 1976 dans la presse provinciale en noir et blanc. Mais il n'y a pas eu d'album. L'histoire est sortie en film d'animation c'est ainsi que la majorité l'a connue. Le 19 octobre l'album sort. L'idée est est de rééditer le texte initial adapté au scénario de Goscinny. Une couverture dessinée par Uderzo. 80 pages. Une quarantaine d'illustrations.Des croquis d'époque de Uderzo. Bref un album vraiment original et sûrement collector. Il n'y a plus qu'à attendre. C'est mercredi. C'est demain.

 

Albert Uderzo né Alberto Aleandro Uderzo est né le 25 avril 1927 à Fismes. Il est dessinateur et scénariste de bande dessinée. Il est le créateur avec René Goscinny de la série Astérix, notamment. Il réalisera 34 albums des aventures d’Astérix et d’Obélix. Son personnage apparaît dès 1959.

 

René Goscinny, né le 14 août 1926 à Paris et est mort le 5 novembre 1977. Il était écrivain, humoriste, et scénariste de Bande Dessinée. On lui doit Astérix, Iznogoud ou le Petit Nicolas. Il fût aussi un des rédacteurs en chef de Pilote. Il est l’un des auteurs français les plus lus au monde : l’ensemble de son œuvre serait d’environ 500 millions d’ouvrages vendus. Astérix est traduit dans 107 langues.

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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 06:55

Rubén Pellejero est un dessinateur espagnol. Il est né en 1952. Il débute comme illustrateur et, il commence la bande dessinée en 1983 pour une série sur Barcelone. Il collabore principalement avec le scénariste argentin Jorge Zentner pour le compte de Casterman. Il a aussi publié deux albums chez Dupuis sur des scénarios de Denis Lapière et Franck Giroud. Il reprend Corto Maltese après Hugo Pratt avecJuan Diaz Canales Le voici au commande également de the long and the winding road écrit avec Christopher publié chez Kennes Editions.

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13 octobre 2016 4 13 /10 /octobre /2016 06:55
The long and the winding road de  Ruben Pellejero et Christopher chez Kennes Editions.

Le synopsis de Kennes Editions :

«« Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage » disait le poète. C'est pourtant sans joie que notre Ulysse entreprend le voyage posthume que lui propose son père. En guise de dernière volonté, celui-ci l'invite à répandre ses cendres sur l'île de Wight, en Angleterre, en suivant le même périple que lui lorsqu'il s'était rendu au mythique concert de 1970. Une odyssée rock qui avait changé le cours de sa vie. Et qui pourrait bien changer la sienne... Sur une bande-son d'époque, au volant d'un combi Volkswagen hors d'âge et flanqué des trois compagnons de jeunesse de son père, tous plus barges les uns que les autres, Ulysse empruntera donc la route longue et sinueuse qu'ils avaient suivie quelques années plus tôt.Au-delà de la ligne blanche, Ulysse découvrira que son père n'était pas ce petit bourgeois étriqué pour qui il n'avait jamais eu grande estime. Et à travers lui, il comprendra mieux d'où il vient et qui il est vraiment. ».

Le casting est détonnant. Réunir ces deux-là pour faire ce livre c'est juste improbable et pourtant cela marche. Cette histoire est attachante et fonctionne bien. Le héros est sympathique, on a envie de le suivre dans ce périple avec ses comparses que l'on aimerait bien rencontrer en vrai. Le scénar est incroyable et permet tout et surtout tous les excès. On a plaisir à suivre ce « road movie » un peu particulier. Le trait de Pellejero est incroyable. Passer de l'univers de Corto Maltese et de Pratt a celui de Christopher ne demande pas que du talent. De l'humanité. Christopher sort le grand jeu. La dramaturgie est bien menée. Les personnages sont drôles, humains et attachants. On se régale à suivre cette histoire. C'est un 184 pages au format 320 x 240.

Rubén Pellejero est un dessinateur espagnol. Il est né en 1952. Il débute comme illustrateur et, il commence la bande dessinée en 1983 pour une série sur Barcelone. Il collabore principalement avec le scénariste argentin Jorge Zentner pour le compte de Casterman. Il a aussi publié deux albums chez Dupuis sur des scénarios de Denis Lapière et Franck Giroud. Il reprend Corto Maltese après Hugo Pratt. Le voici au commande de cet album atypique.

Christopher est né en Angleterre en 1969. Cet Anglo-Marseillais (si cela existe) monte à la capitale (Paris)faire ses études de graphisme et réalise enfin que dans le logo de Carrefour, il y a un C en défonce. Cette découverte ne réussira pas pour autant à empêcher notre Anglo-Parigot-Marseillais à se lancer dans la bande dessinée en créant la comédie illustrée. Il consacre son temps à raconter des histoires de vies quotidiennes (la série "les filles" chez Carabas, "Les Colocataires" chez Dupuis...) au sein de l'atelier Cachalot en espérant que la prochaine révélation ne sera pas un miracle qui le forcera à s'enfuir dans un autre pays. Ce n'est pas le cas.



The long and the winding road de  Ruben Pellejero et Christopher chez Kennes Editions.
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12 octobre 2016 3 12 /10 /octobre /2016 06:55
Patience de Daniel Clowes chez les éditions Cornélius.

Le synopsis de Cornélius :

« Jack et Patience file le parfait amour, malgré quelques problèmes d’argent ils forment un couple harmonieux et comblé par l’arrivé futur de leur premier enfant. Un jour, ce bonheur vole en éclats. Jack rentre du travail et découvre qu’un étranger lui a arraché son fragile équilibre familiale. Pour empêcher l’irréparable, Jack fera tout ce qui est en son pouvoir même si pour cela il doit courber l’espace et le temps. »

Daniel Clowes. Je ne suis pas certain que la majorité des lecteurs de Bandes Dessinées connaissent et aient eu la possibilité de lire cet auteur. C'est une star aux Etats Unis mais il a été peu publié en France. C'est un auteur au style affirmé. On retrouve chez lui ce qui se fait de mieux. Trait précis, presque chirurgical. Colorisation forte à l'image de ce qui se faisait dans les années 70. Il signe ici l’une des œuvres les plus travaillées de sa carrière déjà longue. C'est une bonne façon de prendre contact avec son œuvre. Il travaille habilement les codes de la science-fiction. Fluide et addictive, la lecture de Patience transporte le lecteur dans un tourbillon d’émotions et de réflections aussi. L’auteur utilise la fiction et les voyages temporels pour mieux aborder des problématiques multiples: la construction de l’identité, la part du secret dans le couple, le deuil, la vengeance et bien sûr, l’amour. Patience mélange rêves d’enfance et questionnements matures. Un découverte pour certains. Une confirmation pour d'autres. Un auteur qui ne laisse pas indifférent. Cela sort le 13...mais c'est demain !!!!.

Daniel Clowes est né en 1961 à Chicago. Il apprend à lire dans les comics des années 50. Il publie dès 1989 le premier numéro de Eightball, que Chris Ware considère aujourd’hui comme le plus grand comicbook de la fin du XXe siècle. Clowes devient malgé lui, une icône de la contre-culture et du post-modernisme. Sacré “romancier graphique”, Daniel Clowes quitte Chicago pour la Californie. Il dessine pour le très sérieux New York Times Magazine des histoires au sein desquelles cigarettes et obscénités sont bannies par contrat. Son style mélangeant observation clinique du quotidien, dérapages fantastiques et satires grotesques, ont fait de lui le conteur atypique et précis.

Patience de Daniel Clowes chez les éditions Cornélius.
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9 octobre 2016 7 09 /10 /octobre /2016 06:55

René Follet est né en 1931. C'est dès 14 ans que l'on retrouve son trait pour la réalisation de planches sur Stevenson, pour L'ïle aux Trésor de Stevenson. A 18 ans il entre au journal de Spirou. Il y réalise des planches des bonnes histoires de l'Oncle Tom. Il enchaîne avec une collaboration avec Le Lombard et le journal de Tintin. Sa première série Ivan Zourine y est publiée. Il crée aussi les Zingari pour le journal de Mickey. Et tant de choses encore...Une carrière de rêve pour un artiste hors du commun.... Rassurez vous cet artiste exceptionnel n'est pas mort. Oncle Fumetti pense qu'il ne faut pas attendre leur décès pour dire aux personnes que l'on aime son admiration. Monsieur Follet, Oncle Fumetti vous admire.

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7 octobre 2016 5 07 /10 /octobre /2016 06:55
Au fil de l'eau de Juan Diaz Canales chez Rue de Sèvres.

Le synopsis de Rue de Sèvres :

«Madrid, aujourd’hui. Niceto octogénaire passe sa retraite entouré de sa bande de vieux copains, de son fils Roman et de son petit-fils Alvaro. Dans l’Espagne marquée par la crise, le quotidien n’est pas simple. Il devient réellement inquiétant lorsque les amis de Niceto commencent à mourir les uns après les autres, dans des circonstances de plus en plus étranges et violentes…Quand Niceto disparaît à son tour, c’est une véritable course contre la montre qui démarre pour Roman et Alvaro. »

Après Blacksad avec JuanJo Guarnido et la reprise de Corto Maltese avec Ruben Pellejo on aurait pu croire l'homme repu, et l'artiste satisfait. Il n'en est rien. Juan Diaz Canales se la joue solo et nous propose un album propre. Propre au sens de personnel, pour soi en somme. Mais aussi propre, comme qui dirait bon ou solide comme vous voulez.Clean quoi !? Le Vieux Fumetti aime le noir et blanc. Il a toujours été fan de l'age d'or de la BD quand le récit était sublimé par des cases sobres et travaillées. Canales sait faire et nous en donne pour notre argent. Le récit nous narre la vie de la middle class madrilène quand elle glisse lentement vers la pauvreté. C'est prenant et profondément humain. C'est aussi un polar bien mené. Il est dépaysant et assez cynique. C'est donc diablement intéressant. L'Espagne est sur le devant de la BD européenne et c'est fun et agréable pour nous. C'est sorti. Cela fait donc 112 pages au format, 21x27,5 cm. Cela vous fera 17 euros !!!

Juan Diaz Canales est madrilène. Il nait en 1972. Il est le scénariste de Blacksad. Il a fait également les Beaux Arts. Il est pluridisciplinaire. Scénariste, dessinateur, il supervise des séries TV et des films d'animation. Il a créé son propre studio en Espagne où il demeure. Il vient de reprendre Coro Maltese le légendaire personnage de Hugo Pratt pour Casterman avec Ruben Pellejo. Il reprend le cours de sa carrière en publiant ce nouvel album chez Rue de Sèvres.

Au fil de l'eau de Juan Diaz Canales chez Rue de Sèvres.
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5 octobre 2016 3 05 /10 /octobre /2016 06:55
Les Voyages d'Ulysse de Emmanuel Lepage et René Follet chez Daniel Maghen Editions.

Le synopsis de Daniel Maghen Editions :

«Jules Toulet, peintre obscur de la fin du XIXeme siècle, a perdu sa muse Anna. Les quelques lettres qu’il a reçues d’elle n’ont fait qu’entretenir la flamme et l’ont empêché de se remettre à peindre. Il traîne dans Istanbul et tente de retrouver la créativité de ses années de jeunesse. Le cœur dévasté et les poches vides, il embarque alors sur L’Odysseus, le navire du mystérieux capitaine Salomé, qui l’accepte à bord car elle s’intéresse à la peinture. En particulier, elle compte sur lui pour l’aider à retrouver un peintre, nommé Ammôn. Pourquoi ? Que lui veut-elle ? Quelle histoire se cache derrière cette femme au front dur qui ne connaît pas la crainte ? Qui est-elle ? »

Quand deux dessinateurs et même deux artistes comme Emmanuel Lepage et René Follet se rejoignent pour nous proposer un livre c'est forcément une grande attente. Oncle Fumetti écrit « un livre ». Tiens !!! pourquoi dit-on un livre et pourquoi dit-on un album !!! Un truc à creuser. C'est un livre. Déjà le bébé pèse 272 pages en format 25.0 cm x 32.5 cm. Cela pose les choses. Le prix aussi 29 euros. Nous sommes loins de la BD classique à 15 euros. Après venons en au contenu. C'est juste superbe. Sans doute un des albums de l'année. Deux talents de premier plan qui en plus s'accordent bien. Le père spirituel et son fils. Leurs travaux se conjuguent magnifiquement. C'est fin et finement travaillé. C'est le livre rêvé et même fantasmé par beaucoup. Classique mais beau. Dans un futur musée de la Bande Dessinée il aura sa place. Pour sûr ! A lire absolument. A parcourir et à reparcourir inlassablement.

Emmanuel Lepage est breton de Saint Brieuc. Il est né en 1966. Il est scénariste, dessinateur et coloriste. Plus de 20 œuvres déjà à son actif. Il a travaillé avec beaucoup de maisons d'éditions : Ouest France, Soleil Productions, Futuropolis, Daniel Maghen, Vents d'Ouest ou Dupuis et le Lombard. Une carrière riche de travaux de qualité commencée en 1987.

René Follet est né en 1931. C'est dès 14 ans que l'on retrouve son trait pour la réalisation de planches sur Stevenson, pour L'ïle aux Trésor de Stevenson. A 18 ans il entre au journal de Spirou. Il y réalise des planches des bonnes histoires de l'Oncle Tom. Il enchaîne avec une collaboration avec Le Lombard et le journal de Tintin. Sa première série Ivan Zourine y est publiée. Il crée aussi les Zingari pour le journal de Mickey. Et tant de choses encore...Une carrière de rêve pour un artiste hors du commun.

Les Voyages d'Ulysse de Emmanuel Lepage et René Follet chez Daniel Maghen Editions.
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2 octobre 2016 7 02 /10 /octobre /2016 06:55
Blake et Mortimer endeuillés.... Ted Benoît est décédé.

Ted Benoit était né en 1947. Il commença sa carrière dans le cinéma. Il étudie ensuite à l'Institut des Hautes Etudes Cinématographiques. Il est alors assistant réalisateur jusqu'en 1971. Il a collaboré à Métal Hurlant, l'Echo des Savanes et A Suivre. Il reçoit le prix du meilleur scénario au festival d'Angoulême en 1979. Il était également scénariste. Il n'en reste pas moins vrai que c'est un vrai spécialiste de la Ligne Claire. Il avait d'ailleurs reçu le Prix du public à Angoulême pour l'Affaire Francis Blake en 1997. Il nous a quitté le 30 septembre dernier.

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