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29 septembre 2016 4 29 /09 /septembre /2016 06:55
Exposition Tintin au Grand Palais du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017

Le pitch de l'Exposition :

« On ne présente plus la carrière de Georges Remi, dit Hergé, auteur belge de bande dessinée principalement connu pour Les Aventures de Tintin. Souvent considéré comme « le père de la bande dessinée européenne », il est l’un des premiers auteurs francophones à reprendre le style américain de la bande dessinée à bulles. Perfectionniste et visionnaire, il crée tour à tour Les Exploits de Quick et Flupke (1930) ou Les Aventures de Jo, Zette et Jocko (1935) et fait évoluer ses personnages en lien avec l’actualité contemporaine. Il est aujourd’hui considéré comme l’un des plus grands artistes contemporains et a vendu presque 250 millions d’albums, traduits dans une centaine de langues. Exposition organisée par la Réunion des musées nationaux - Grand Palais en collaboration avec Le Musée Hergé. L’exposition bénéficie du soutien d’Aurel BGC, Mécène d’honneur, de Linklaters et de Nexity. »

C'est la fête à Tintin en ce moment. Entre le Hors série de la revue sérieuse « Beaux Arts et cette exposition majuscule, le monde de l'Art propose le travail de son créateur, Georges Rémi alias Hergé. grâce à une importante rétrospective de son travail au Grand Palais. On peut y voir de nombreux crayonnés qui permettent de découvrir un dessinateur brillant. Nous le savions. Bien entendu la colonne vertébrale de l’exposition repose sur la genèse des albums. Deux salles consacrées à sa passion pour la peinture et l’art contemporain ouvrent le parcours également On y trouve aussi des publicités. Bref, les fans sont gâtés et peuvent d'ores et déjà découvrir cette exposition. A noter que l'exposition participe à la Nuit Blanche ce week-end en étant ouverte de 20h à minuit.

Exposition Tintin au Grand Palais du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017
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28 septembre 2016 3 28 /09 /septembre /2016 06:55
Beaux Arts – Hors série... Hergé les secrets du créateur de Tintin.

Ce mois les amateurs de BD sont gâtés. Le magazine Beaux Arts nous propose un Hors Série consacré à un des plus grands dessinateurs de tous les temps. Hergé. Grand pas seulement par son trait et par le style qu'il a créé ou pérénnisé : La Ligne Claire. Grand pas seulement parce qu'il a créé un personnage mondialement connu et emblématique. Mais surtout grand parce qu'il a contribué à faire d'albums dessinés pour les jeunes un art nouveau et qu'il a donné envie à des créateurs de se lancer et donné du rêve à des générations de lecteurs de « 7 à 77 ans »... Dans ce magazine forcément riche et en tout cas bien conçu on découvre des dessins, des photos, des interviews autour de thèmes comme ; la ligne caire, ses inspirateurs du Maître, la naissance de scénarios, son rapport à la peinture, les 15 dates clés de sa vie vouée à la création. C'est un bijou parce que même les fans de première force trouveront aussi des nouveautés et des informations sur leur idole. A ne pas manquer....

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27 septembre 2016 2 27 /09 /septembre /2016 06:55
Interview de Nathalie Ferlut pour Andersen les Ombres d'un Conteur chez Casterman.

Qui êtes-vous Nathalie Ferlut ?

A priori, un auteur de BD. Parfois une dessinatrice, parfois une scénariste, pas toujours au même moment. Je fais des livres, et au fond, c'est ce que je pensais faire, déjà quand j'étais petite. Pour ma famille, je suis quelqu'un qui achète, empile et lit beaucoup de livres. Pour mes chats, je suis un humain qui a la bonne idée de travailler à la maison, donc pas loin du bol de croquettes. Pour mon banquier, je suis une déception, je pense.

Comment êtes-vous venue à ce mode d’expression ? Pourquoi la BD ?

Après mon bac, je suis partie en fac étudier -entre autres- l'histoire de l'Art mais je m'ennuyais assez : j'avais envie d'écrire des histoires qui m'appartiennent. Et bizarrement, alors que je n'étais pas une super dessinatrice, j'ai plutôt pensé à la bande dessinée plutôt qu'à la voie journaliste ou études purement littéraires. C'était à la fois un hasard (j'ai vu une affiche de promotion de l'école d'Angoulême dans les couloirs de la fac) et un genre d'évidence : je lisais de la bande dessinée depuis toujours mais je n'avais jamais imaginé que ça puisse être un métier. Bien des années plus tard, c'est devenue une vocation : comme un mariage sur un coup de tête qui devient une vraie histoire d'amour avec le temps...

Vous définiriez vous comme une scénariste ou une dessinatrice ? Que préférez-vous ?

Ça dépend : il m'arrive de dessiner les histoires d'autrui, et de scénariser pour d'autres personnes. Dans ces cas-là, j'essaie d'être l'un ou l'autre en évitant au maximum les interférences (ne pas trop intervenir sur le dessin du dessinateur ou être critique sur le scénario écrit par une autre personne). Lorsque que je travaille entièrement sur un projet, j'imagine que je suis plus portée sur l'écriture que sur le dessin.

Parlez-nous de vos œuvres ? Qu’est ce qui les relie entre elles ?

Peut-être mon besoin d'écrire, beaucoup. Mes projets sont toujours très hybrides : ils comportent beaucoup de texte, dialogué ou narratif. Mon inspiration est plutôt à chercher du côté du théâtre ou du conte. Et puis, il y a toujours un personnage, au centre qui est l'unique sujet de tout le projet : lui, ses doutes, sa façon de parler, de bouger : pour moi, c'est la voix de mes personnages. Au fond, ce qui leur arrive est un peu accessoire pour moi : ce n'est pas ce qui m'intéresse le plus.

Vous avez travaillé avec Delcourt, Carabas puis Casterman. Des choix ou le hasard des rencontres ?

Un peu tout ça. Ainsi que ce simple fait : un projet d'album, c'est un rêve et aussi un gagne-pain. Il faut donc trouver un éditeur qui engage des avances sur droits décents pour l'auteur, et un avenir pour le livre. Parfois on doit prospecter un peu partout pour aligner tous ces astres-là.

Parlez-nous de votre dernier travail. Pourquoi ce sujet ? Pourquoi Andersen.

C'est un amour de jeunesse, Andersen, pour moi, que j'ai retrouvé avec joie, à l'âge adulte, sans qu'il aie perdu sa pertinence ou son humour. C'est donc un projet que j'avais en tête depuis une dizaine d'années mais ça a été très long de savoir comment raconter le bonhomme, qu'en dire qui puisse toucher des lecteurs, quel format, quelle voix pour le laisser parler, quand même : Andersen, c'est surtout quelqu'un qui écrit magnifiquement bien. Il fallait donc évoquer son style littéraire, sans le plagier...

C’est très fouillé. Comment travaille-t-on à définir la personnalité d’un tel personnage ?

En lisant plein de livres, de biographies. Et puis en les laissant de côté, et en reprenant les contes. C'est un genre d'enquête assez long, qui demande des périodes de maturations, de doutes… Il faut laisser se décanter les mots et les impressions.

Lorsqu'on connaît Andersen, on voit clairement se dessiner son autobiographie, ses inquiétudes, ss emportements et ses passions dans son œuvre. On l'entend très bien se raconter...

Interview de Nathalie Ferlut pour Andersen les Ombres d'un Conteur chez Casterman.

Combien de temps avez-vous travaillé dessus entre les recherches, les dessins. C’est un long processus non ?

J'ai du mal à passer moins de deux années sur un projet. C'est plus le scénario, le concept et puis le découpage et les dialogues, qui me prennent beaucoup de temps. Le dessin, lui, est une étape plus rapide. Quant-à la couleur, ça dépend puisque je ne la fais pas forcément toute seule (là, j'ai été aidée par Thierry Leprévost, qui a d'ailleurs mis en couleur tous mes premiers albums)

Etes-vous plus Photoshop ou mine de plomb ?

Les deux sont complémentaires, pour moi. Pas la mine de plomb, d'ailleurs, mais du lavis, dans mon cas, des encres, diverses avec lesquelles je fais mes cases, avant de les scanner et de monter les planches sur Photoshop.

Quels sont vos projets en cours ou les futurs ?

Il y a un projet en cours de finition, sur Artemisia Gentilleschi, aux éditions Delcourt, qui est dessiné par Tamia Baudouin. Et d'autres choses dont je ne peux pas vraiment parler encore : un album où je ne ferais que le dessin, par exemple...

Interview de Nathalie Ferlut pour Andersen les Ombres d'un Conteur chez Casterman.
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25 septembre 2016 7 25 /09 /septembre /2016 06:55

Pour faire le lien avec la chronique de cette semaine, une interview qu'a donné Dobbs à Oncle Fumetti il y a quatre années. Une façon de le découvrir. C'est "roots" et c'est bien ainsi.

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22 septembre 2016 4 22 /09 /septembre /2016 06:55
Odyssée sous contrôle de Dobbs et Stéphane Perger chez Ankama Editions

Le synopsis de Ankama :

«Sur la planète Emeraude, colonie prise aux tentaculaires Cépodes, un agent secret enquête sur de mystérieuses disparitions d'humains. Lorsqu'on tente de l'assassiner, il est alors contraint d'opérer en marge des autorités officielles. Sa mission prend un tour inattendu lorsque la poétesse qu'il a séduite lors de son voyage est à son tour kidnappée de façon très médiatique. Comment l'ennemi connait-il tous ses faits et gestes ? Pourquoi doute-t- il désormais de tout ? Et si le pire restait à venir... Un récit complet d'anticipation, noir et tortueux. Le xénothriller qui vous fera glisser de l'aventure au cauchemar... »

Odyssée sous contrôle est à l'origine un récit court paru en 1959. Stephan Wu en était l'auteur. Nous suivons deux personnages principaux évoluant dans un univers oppressant et parfois complexe à appréhender. Le scénariste Dobbs a choisi de respecter l'auteur. C'est un technicien. Il sait construire une planche et mener le récit. Il faut parfois s'accrocher car l'univers est particulier. Toutefois, c'est au fur et à mesure de la progression dans le récit que l'on comprend le sens de l'écriture de Dobbs. On a raison de persévérer car on ne décroche jamais et on se retrouve penaud à la fin du livre. Cet album est une réussite tant les planches de Stéphane Perger sont époustouflantes et subliment le récit. On connaissait le talent du dessinateur qui pourtant ne saurait surprendre tant on connaissait déjà chacune de ses bandes dessinées. On en reste pantois malgré tout. Le résultat est là et c'est magnifique. A lire absolument.

Olivier Dobremel alias Dobbs est formateur, scénariste et conférencier. Il est montpelliérain. Il collabore maintenant depuis plusieurs années avec Jean Luc Istin et avec Soleil sur des scénarios portant sur des livres tels que : Ed Gein, Mr Hyde contre Frankenstein, Allan Quatermain ou encore Alamo. Il a sorti plusieurs albums depuis 2009. Il est prolixe mais c'est de la prolixité talentueuse.

Stéphane Perger est né en 1975. Il vient du Nord. Il est à la base graphiste. Il a collaboré avec la belle Maison «6 pieds sous terre» et Jade. Il enchaîne avec Emmanuel Proust Edition puis Marvel Comics. Il est passé aussi par la case « Soleil » Il a déjà travaillé avec Dobbs. Les deux font la paire.

Odyssée sous contrôle de Dobbs et Stéphane Perger chez Ankama Editions
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21 septembre 2016 3 21 /09 /septembre /2016 06:55
Forçats de Fabien Bedouel et Patrice Perna chez Les Arènes.

Le synopsis de Les Arènes Editions :

«Guyane française, 1923. La forêt vierge, les serpents venimeux, la chaleur étouffante… et le bagne. L’existence des forçats ne tient qu’à un fil : l’espoir fou de s’évader de cette île du malheur. Au milieu des ténèbres, deux hommes : L’anarchiste Eugène Dieudonné, incarcéré depuis 10 ans pour un crime qu’il n’a pas commis, et le grand reporter Albert Londres, venu « porter la plume dans la plaie » de ce monde inhumain. Leur amitié va changer l’histoire de ce bagne. »

Le bagne de Cayenne a toujours fait fantasmer les créateurs.. On connait le «Papillon » avec Steve McQueen et Dustin Hoffmann notamment. On ne va pas se lancer dans une liste exhaustive sans intérêt. Une chose est certaine on en revenait peu. C'est sur ce lieu que va se focaliser l'intrigue de Patrice Perna pour ce diptyque en devenir. C'est ce qui est annoncé en tout cas puisque cet album est le tome 1. C'est le bagnard Eugène Dieudonné, qui a écopé d’une perpet’ pour anarchisme au sein de la bande à Bonnot, qui mène les débats. La part romancée du récit tient dans son amitié avec Albert Londres et le rôle du journaliste dans son succès. Le récit est bien mené et est captivant. L'autre succès tient au talent de Fabien Bedouel, avec lequel Perna a déjà réalisé le diptyque consacré à Kersten, le Médecin d’Himmler. Bedouel inscrit une nouvelle fois son travail superbe dans un style adoré par Oncle Fumetti. Dans un style très frankmillerien. Ses ombrages très travaillés sont superbement réussis et s'inscrivent en belles masses de noir pur, rehaussées juste ce qu'il faut de quelques colorisations en aplats. C'est sorti et c'est une des réussites de la rentrée littéraire.

Fabien Bedouel est diplômé des Arts Décoratifs. Il réalise des courts-métrages avant de se lancer dans la BD. En 2010, avec Laurent-Frédéric Bollée au scénario, il réalise les deux tomes de Un long destin de sang (12bis). La même année il sort avec Merwan, Nury et Defrance la série L’Or et le sang(12bis).

Patrice Perna quitte le monde du journalisme en 2006 pour se consacrer uniquement à la bande dessinée. En 2010 il reprend avec Jenfèvre les rênes du Joe Bar team pour le tome 7. Chez 12bis, il a également signé La Question de Dieu avec Laetitia Coryn.

Forçats de Fabien Bedouel et Patrice Perna chez Les Arènes.
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18 septembre 2016 7 18 /09 /septembre /2016 06:55

Ce dimanche nous revenons avec Milo Manara qui réalise une fresque avec Pat Andrea en 2013 à Bruxelles dans une galerie. La galerie Petits Papiers. Un moment de bonheur pur.

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15 septembre 2016 4 15 /09 /septembre /2016 06:55
L’âne d’Or de Milo Manara chez Les Humanoïdes Associés.

~~Le synopsis des Humanoïdes Associés :

« Cet album propose le récit des péripéties du jeune Lucius, transformé en âne et soumis aux vicissitudes d'une vie d'errance. Brigands, sorcières et patriciennes aux mœurs légères se succèdent au fil de ce conte érotique sans tabous, tour à tour inquiétant et truculent. Inspiré de L'Ane d'Or d'Apulée, ce récit fait partie des œuvres marquantes de Milo Manara, au sommet de son art. »

C’est durant la touffeur de l’été et donc début septembre que ces bougres des Humanoïdes Associés nous ont proposé une réédition en numérique de ce chef-d’œuvre du Maître italien de la BD érotique. Nous ne sommes plus dans Le déclic mais dans la Rome antique. Jolie rime. Il s’agit des pérégrinations d’un jeune éphèbe qui est transformé en âne le choix de l’animal n’étant sûrement pas innocent !!! C’est une création très connue des amateurs et des spécialistes qui sont souvent les mêmes. Cette version est non censurée et on se demanderait bien pourquoi quand on sait que Jacquie et Michel inonde nos écrans d’ordinateurs de vidéos porno en libre accès. C’est surtout intéressant pour les somptueux dessins de Manara et pour la reconstitution historique. Pour le reste vous n’apprendrez rien c’est sûr. Bonne lecture numérique.

Milo Manara est né le 12 septembre 1945 en Italie. Il est auteur italien de bande dessinée. Il découvre le scultpeur espagnol Berrocal et surtout le Barbarella de Jeanc Claude Forest qui l’amène à la bande dessinée. Ses premières planches professionnelles — des récits érotiques — datent de 1968. Il publie Genius, pour les éditions Vanio. Viennent ensuite les aventures de Jolanda, femme pirate. En 1976, Le Singe est son premier récit remarquable. Il paraît dans Charlie Mensuel notamment. Durant la même période, il dessine des épisodes de l’Histoire de France en Bandes Dessinées et de La Découverte du monde en bandes dessinées aux éditions Larousse. En 1983 sa carrière prend une nouvelle direction avec Le Déclic qui fait instantanément de lui un des maîtres de la bande Dessinée érotique. En 1987 Hugo Pratt devient son scénariste pour Un été indien, expérience qu'ils rééditent sept ans plus tard avec El Gaucho. Aujourd'hui, Milo Manara continue une production régulière d'histoires érotiques avec Albin Michel rééditées ensuite par Drugstore. Enfin il participe régulièrement à des projets plus originaux, comme la série Borgia avec le scénariste Alejandro Jodorowsky.

L’âne d’Or de Milo Manara chez Les Humanoïdes Associés.
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13 septembre 2016 2 13 /09 /septembre /2016 06:55
Délicieuse Daisy de Collectif Disney chez Glénat.

Le synopsis de Glénat :

« Une main de fer dans un gant de velours ! On a tendance à considérer Daisy simplement comme la fiancée de Donald. Mais au cours de sa longue carrière en bande dessinée (plus de 10 000 histoires !), la belle a su dévoiler une personnalité tout en nuances, plus complexe qu’il n’y parait. Et derrière ses allures de jeune fille propre sur elle se cache un caractère bien trempé dont le pauvre Donald a fait les frais. Si bien que ce râleur invétéré, peut-être le plus caractériel des personnages Disney, reste la plupart du temps désarmé devant ses colères ! Impertinente, indépendante, explosive, Daisy Duck est l’incarnation de la féminité selon Disney. Retrouvez, pour la première fois, un album qui lui est entièrement consacré ! »

Encore un personnage de Disney mis à nu. Et quand on met Daisy à nue cela fait du bruit. Trêve de gaudriole il s'agit d'un vrai personnage. Il a ses histoires certes partagées le plus souvent avec son fiancé Donald mais elle a ses vrais fans aussi . Oncle Fumetti en est. C'est singulier que le Grand Walt et ses camarades n'aient pas pensé à les marier ces deux-là. Elle incarne à ses débuts la bonne mère de famille des années 50. Celles que l'on voit sur les magazines US avec leurs permanentes toujours parfaites et leurs jupes droites. Daisy dite Daisy Duck est un personnage de fiction qui apparaît en 1937. Et en fait elle apparaît non pas dans une BD mais dans un dessin animé. C'est singulier. On la voit alors éconduire le pauvre Donald qui en est raide dingue. C'est seulement en 1940 qu'elle acquiert son prénom et que la notoriété lui ouvre les bras. Glénat nous redonne à la découvrir dans ce livre sympa qui réjouira les fans.

Délicieuse Daisy de Collectif Disney chez Glénat.
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11 septembre 2016 7 11 /09 /septembre /2016 06:55

Ce dimanche Oncle Fumetti fait le lien entre la chronique de vendredi matin et cette vidéo. Il faut mettre un visage sur le nom d'un article. Donc voici Nicolas Dumontheuil. Qu'on se dise. Après visionnage ce qui marque c'est la générosité de Dumontheil pour offrir à ces fans des dédicaces grandes, belles et chronophages. La qualité des ombrages aussi.

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