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11 novembre 2011 5 11 /11 /novembre /2011 13:39

suicide-island-manga-volume-1-simple-45660

 

Synopsis de la maison d'édition :

 

"Hospitalisé après une tentative de suicide, Sei se réveille sur une île apparemment désertée. Mais il découvre vite qu'il n'est pas seul du tout, et que cet endroit est en fait utilisé par la société japonaise pour se débarrasser des individus suicidaires dont elle ne souhaite plus assumer le coût. Dans cet environnement oppressant, certains mettent définitivement fin à leurs jours, tandis que d'autres choisissent de recommencer à zéro. Mais tous ont en commun une grande fragilité psychologique, et vivre ensemble, survivre ensemble, deviendra vite une lutte permanente".


L’Oncle Fumetti n’est pas un amateur de manga. A peine sait il qu’il faut lire ces livres de droite à gauche. Il faut commencer par la fin quoi !!!! Pour celui-ci, L’Oncle n’a pas eu à se forcer. L’intérêt a été naturel. Non pas que le graphisme soit particulier, inventif ou novateur. Le contenu se suffit à lui-même. Malgré tout le dessin est excellent. Nous savons tous que nos sociétés sont difficiles, aléatoires et sans merci. La société japonaise très violente moralement a autorisé Kôji Mori à extrapoler et à scénariser une histoire dans laquelle le cynisme se mélange à la cruauté et à la violence. Des individus sont confrontés à eux-mêmes et à leurs compagnons de mal-être dans un huis clos insulaire et étouffant. Que feront-ils ? Comment vivront-ils la confrontation aux autres ? Que choisir ? Survivre ou mourir ? Je vous laisse découvrir cet album. C’est prenant et c’ est brulant. Nous ne sommes plus au pays de Candy….Plus du tout !!! Il sort le 17 novembre. A découvrir. C’est le premier tome.

 

Kôji Mori est un scénariste et dessinateur japonais de manga. Suicide Island n’est pas son premier album. On lui doit « Destroy and Revolution » et « Holyland ». 

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5 novembre 2011 6 05 /11 /novembre /2011 07:58

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Jean-Denis Pendanx, surtout ne pas oublier le trait d’union entre Jean et Denis, est né à Dax en 1966. Il étudie à Paris à l’école Estienne en prépa. Après l’obtention d’un BTS en arts appliqués au lycée Jolimont de Toulouse il retourne à Paris aux Arts décoratifs. Il est maintenant bordelais et illustre des livres pour la jeunesse, pour des magazines. Il est également et c’est ce qui nous intéresse dessinateur de bandes dessinées. Son parcours d’une vingtaine d’années est riche de livres aux contenus très contrastés.


Cela part de Diavolo le solennel avec Doug Headline chez Zenda en 1991. Cela se poursuit avec la série de quatre tomes du très remarqué « Labyrinthes » chez Glénat projet conçu avec Serge Le Tendre sur plusieurs années de 1993 à 1997. Puis vient Abdallahi avec Christophe Dabitch chez Futuropolis avec deux tomes. De nouveau avec le Sieur Dabitch une série « Jeronimus » de 2008 à 2010. Enfin « Svoboda » avec Kris en 2011 toujours avec Futuropolis.

 

L’Oncle Fumetti vous l’aurez compris est très fan. Il a tous les albums et tous dédicacés par Mister Pendanx. Il aquarellise beaucoup ses dédicaces mais pas que... Son œuvre est très diverse, cela rend son parcours attachant et atypique. Avec J-D Pendanx pas de récurrence mais des sujets différents, je dirai même que les styles et les graphismes sont changeants d’un album à un autre. C’est un des dessinateurs de BD contemporains les plus talentueux pour votre serviteur et sa notoriété n’est pas au niveau de son talent. Une injustice à réparer à n’en point douter…

 

Jean-Denis-Pendanx-Tropiques-interieurs large

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4 novembre 2011 5 04 /11 /novembre /2011 07:39

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Hier soir malgré l'alerte rouge, l'Oncle Fumetti a dîné avec les Ducs de la Motte. L'occasion est donc belle pour aborder la thématique du rugby dans la Bande Dessinée. Ce sport y a été traité à de nombreuses reprises. Les éditeurs se sont attachés via des dessinateurs à relever soit le côté pittoresque des relations entre joueurs et la convivialité, soit l'aspect purement sportif de cette magnifique activité. La Maison Soleil s'y est attaquée avec Léo Passion Rugby, La Maison Glénat avec les rubipèdes, Sébastion Chabal a sa série avec Chabal Puissance 8 chez Jungle ou encore les rubipèdes. La série la plus connue à mon sens est "Les Rugbymen" chez Bamboo dans laquelle on met en avant le 'très supposé" côté brut de décoffrage des joueurs...Je vous laisse juge mais il n'en est rien évidemment...

 

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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 17:51

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Aujourd’hui, l’Oncle Fumetti était à Sète.  Il n’a pas oublié que c’est la ville de Georges Brassens. Il n’a pas oublié que cela faisait trente années que ce poète était mort le 29 octobre 1981…Trente années sans lui. C’est extrêmement long. Heureusement la bonne fée de la BD s’est penchée non pas sur ce berceau mais sur ce problème et sur ce manque. Et que constatons nous ? Que le Grand Georges a fait l’objet de recueils qui nous raconte la vie de l’homme ou alors que certains livres illustrent ses chansons. L’Oncle Fumetti pense particulièrement aux éditions Fetjaine ou encore aux éditions Petit à Petit qui proposent de tels albums. Il pense aussi à Joan Sfar qui a sorti un album sur le Maître chez Dargaud. Il y en a sûrement d’autres…Alors ne l’oublions pas et ne boudons pas notre plaisir. A vos lectures…

 

 

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1 novembre 2011 2 01 /11 /novembre /2011 17:49

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L’Oncle Fumetti aime les bandes dessinées qui sortent des sentiers battus. L’Oncle Fumetti aime la culture asiatique…La chinoise comme la japonaise. L’Oncle Fumetti aime quand la BD se veut vectrice de la culture.  Cette fois-ci, le talentueux Nicolas Meylaender, nous avons déjà évoqué  son travail sur Shi Xiu,  a choisi de nous narrer une partie sombre de l’Histoire de la relation sino-japonaise du XXème siècle. Je veux évoquer le massacre pendant six semaines de la population chinoise par l’occupant japonais. Cela reste un sujet de difficultés entre les deux pays. Le non moins talentueux Zong Kai apporte son art du dessin à cette belle œuvre qui nous informe et nous permet de ne pas oublier et aussi de prendre conscience que l’Europe à cette époque ne fût pas seulement la seule région du monde à être violente et cruelle. Le livre a un style sombre. Il est donc en phase avec le sujet mais le graphisme est vraiment à part. Il interpelle et captive. On est littéralement subjugué. L’Oncle Fumetti  l’a été.

 

Je vous livre le synopsis de la Maison Fei :

 

« Décembre 1937 : l’armée japonaise se lance dans un massacre qui va durer six semaines. La famille de la petite Xia Shuquin est prise au cœur de la tourmente qui fera 300 000 victimes. Soixante-quatorze ans plus tard un avocat chinois retrace le parcours de la fillette à travers une série de témoignages qui le confronte à son tour aux horreurs du passé… »

 

Ce livre sort le 4 novembre. Une sortie à ne pas manquer.

 

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31 octobre 2011 1 31 /10 /octobre /2011 07:43

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Pour en finir avec le mois d’octobre et en cette veille de Toussaint, l’Oncle Fumetti a choisi de diriger sa prose sur un livre intéressant.  Il s’agit de Royal Aubrac, une BD atypique qui traite d’un sujet atypique…Le sanatorium. Plutôt il s’agit de la vie d’un jeune homme au début du XXème siècle  qui est contraint d’aller au sanatorium. Comme quoi le 9ème art traite tous les sujets. Je vous livre sans plus attendre le synopsis de l’éditeur :

 

« François-Alexandre Peyregrandes a 21 ans en 1906 lorsqu'il accepte, sur l'insistance de son père, d'effectuer un séjour au Royal Aubrac, le moderne sanatorium du Dr Raynal, dédié aux tuberculeux. Le jeune étudiant aux beaux-arts fait le voyage à reculons, persuadé de vivre là-bas des mois de purgatoire. Pourtant dès le premier jour, il tombe amoureux d'une jeune malade à l'air aussi fragile que de la porcelaine. Il se lie également d'amitié avec Warren, esprit libre et brillant qui lui fait un panorama du microcosme du sanatorium, souffrant mais néanmoins plein de vie. Enfin, il découvre ce bâtiment, sorte d'immense vaisseau de pierre échoué, traversé par les vents et imprégné de l'odeur de l'éther. François-Alexandre ne se doutait pas qu'en fait de cure, il allait vivre l'une des plus riches expériences de sa vie… »

 

J’aime beaucoup le dessin de Nicolas Sure. C’est à la fois rigoureux, élégant et charmant. Il sert bien l’histoire. Tout le talent de Christophe Bec, sur un sujet aussi difficile, est de le rendre attrayant par la diversité des personnages et des situations. C’est vivant, agréable à lire et à regarder. Les sujets sont poignants, attachants. Une vraie jolie histoire pour un vrai joli livre. L’Oncle Fumetti relira ce livre… C’est parce qu’il a aimé.

 

Nicolas Sure est né à Clermont Ferrand en 1975. Il poursuit ses études. Il arrive à Angoulême par amour pour rejoindre son amie. Il entre alors à l’atelier Sanzot. Il fait de la publicité, de la communication. Il se tourne vers la Bande Dessinée avec succès.

 

Christophe Bec est né à Rodez en 1969. Il étudie à l’école européenne supérieure de l’image d’Angoulême. Il est à la fois scénariste et dessinateur.  Son premier contrat est signé chez Soleil. Il collabore avec Corbeyran, Dorison, Rocca notamment. Il a déjà travaillé avec Nicolas Sure sur « Wadlow, la trop courte destinée de l’homme le plus grand du monde » chez Quadrants en 2010.

 

 

 

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30 octobre 2011 7 30 /10 /octobre /2011 16:14

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A partir du 10 novembre sortira le troisième tome des aventures de Ermanemer le Chérusque et de son ami Marcus.

 

Pour ceux qui n’ont pas suivi, le premier nommé est un jeune otage germain, fils de chef,  enlevé à son père et à sa tribu pour garantir la sécurité des armées d’occupation romaine. Il est donc emmené à Rome pour y être éduqué chez un patricien qui a un fils, le fameux Marcus. A l’ âge adulte qu’adviendra t’il des aspirations de ce « Barbare » romanisé ?


Enrico Marini, féru d’Histoire et créateur de bons scénarios, a choisi de nous conter les aventures de ce personnage méconnu en France qui a réellement existé. Il est connu de nos amis d’Outre-Rhin sous le nom de « Hermann der Cherusker ». Sous son nom romain il s’agit Caius Julius Armenius.

 

Il s’agit d’une excellente série. Le récit historique est soigné. Le récit au sens romanesque du terme est excellent. Tout y est : amour, actions, amitié, trahison…Bref un condensé des rapports humains. Le dessin de Marini n’est plus à présenter, son sens du scénario non plus. Il nous a livré des personnages typés et excellents : Le Scorpion, Rapaces, Gipsy. Ce troisième tome est très attendu des fans dont l'Oncle Fumetti fait parti.

 

Enrico Marini est italien. Il est né à Liestal en 1969 en Suisse. Il vient à la Bd très tôt à l’âge de 14 ans. Il étudie à Bâle dans une école des Beaux Arts. Sa carrière débute dès 1987. Il est à la fois scénariste et dessinateur. Il est talentueux tant par son dessin que par son talent de narrateur. C’est avec certitude un des plus grands dessinateurs contemporains.

 

 

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 07:20

raissa

 

Louve, cette petite fille bien mystérieuse, méritait bien qu'on s'y intéresse de plus près. C'est chose faite. Dans ce premier tome, chose assez logique, elle se lie avec une meute de loups qui terrorise les voyageurs égarés. Louve, courageuse comme son père, va découvrir qui les dirige et à quelle fin...


Il s’agit d’un des albums que les éditions Le Lombard ont voulu sortir pour étoffer l’offre autour de Thorgal. Les fans exclusifs feront la fine bouche. Pour les autres, il s’agit d’un très joli album proposé par un Maître du scénario et un très bel artiste. Il ne faut pas être trop catégorique et bouder ce très joli travail…Ajoutons que Graza apporte sa touche d’artiste, ses couleurs et ce n’est pas rien. A lire et à bien accueillir. Sortie le 4 novembre.


Yann est insaisissable. Né à Marseille le 25 mai 1954, ce personnage d’origine bretonne est installé à Bruxelles. Il goûte jeune aux joies de la publicité et de l'architecture avant d’intégrer le monde de la BD en réalisant seul quelques "Cartes Blanches"  pour le journal de Spirou en 1974. Son association avec Conrad est prolifique et réussit. Yann comprend rapidement que le dessin ne permet pas la réalisation rapide de toutes les idées qui bouillonnent en lui. Il abandonne résolument la partie graphique et se tourne vers l'écriture pour une véritable armée de dessinateurs. On le verra ainsi apporter son punch à notamment Frank Le Gall ("Yoyo" et un épisode de "Théodore Poussin"), Marc Hardy ("La Patrouille des Libellules", "Lolo et Sucette", "Croqu' la vie"), Yslaire (le premier épisode de "Sambre"),  Batem et André Franquin ("Le Marsupilami"), Laurent Verron ("Odilon Verjus"), Morris ("Lucky Luke"), etc. Après avoir placé ses pions chez presque tous les éditeurs sérieux de BD, il rentre par la grande porte chez Dupuis en écrivant des récits épiques pour René Hausman dans "Aire Libre" ("Les Trois cheveux blancs" et "Le Prince des écureuils"). Aujourd'hui, Yann est sans conteste l'un des trop rares scénaristes incon-tournables de la profession.


Roman Surzhenko est né en 1972. Il a un parcours très riche en Russie et en Ukraine. Malheureusement la richesse de son travail n’est pas parvenu jusqu’à nous.  En 2009, les Humanoïdes Associés en France lui confient la reprise graphique de la Meute de l'Enfer avec Philippe Thirault, après les départs successifs de Christian Hojgaard et Drazen Kovacevic, ce dernier n'ayant pas souhaité poursuivre la réalisation du quatrième tome.  Ses préférences en matière de style vont pour le style réaliste européenne. Ses favoris sont notamment  Serpiery, Gimenez, Rosinski, Manara, Giraud, Bilal… Youri Jigounov. De belles références.


Graza est connue pour avoir mis en couleur des albums de Thorgal. Née en Pologne, elle a suivi des cours de dessin et peinture à l'Académie des Beaux-Arts de Cracovie. C'est là qu'elle rencontre Kas, futur dessinateur de la série "Hans". Celui-ci deviendra son époux. Elle s’installe en Belgique avec lui.

 

Yann

 

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 19:34

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Il est des seconds rôles chez les mutants ou dans les groupes de super héros dont on devine presque spontanément qu’ils seront très appréciés du lectorat. Diablo des X men est de ceux-ci. L’Oncle Fumetti lorsqu’il lisait « Strange » ou un album US de la Marvel regardait particulièrement le devenir de ce personnage.

Kurt Wagner alias Diablo est d’abord un personnage né en Allemagne, en Bavière plus particulièrement. Il apparaît dès 1975. Il est créé par Lein Wein pour le scénario et par Dave Cockrum pour le dessin. Il est le fils de Mystique qui l’abandonne rapidement. Il se retrouvera face à sa mère au fur et à mesure de ses aventures. Il intègre les X men dans la deuxième équipe comme Colossus ou Wolverine. Il a un physique de démon qui le singularise, le rentre facilement identifiable et qui participera pour beaucoup à sa popularité. Il est naturellement proche de Wolverine. Il est d’une souplesse extrème et il peut se téléporter. Il fait le lien dans l’équipe. Dès 1985, il eut sa propre série. Elle n’eut pas un succès à la hauteur de sa notoriété sans que l’on sache trop pourquoi.On le retrouva naturellement dans la série filmée. Son rôle était tenu par Alan Cumming dans l’épisode 2. Il est assez bien rendu tant dans son physique et dans sa psychologie. De nombreux dessinateurs tentèrent de le représenter comme Kelsey Shannon dans les esquisses ci-dessous que l'Oncle Fumetti a pu acquérir.

 

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 07:48

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Luigi Critone est né en 1971 à Sant Arcangelo in Basilicata, en Italie donc. Il étudie à Rome puis à Florence dans l’Ecole Internationale de Comics. Il y enseigne maintenant.Il commence par travailler pour un studio « Le studio Inklink ». Il s’essaie à divers styles ; la publicité, le dessin historique, pour la jeunesse également. Son attirance pour la Bande Dessinée est forte. Il décide de partir pour Angoulème. Il y rencontre de futurs collègues ; scénaristes et dessinateurs ui le conseil et le rassure sur la qualité de son travail. Il prospecte aussi les éditeurs. Son formation solide et surtout son aisance technique autant qu’artistique font que l’accueil est favorable.

 

 Il collabore avec Soleil sur deux tomes de « La Rose et la Croix », série écrite par Jarry. Il collabore aussi à un label indépendant.

 

En 2005 il intègre Paris. En 2007, il collabore avec Delcourt sur la série « Sept ». Il dessine un album « Sept missionnaires » avec Alain Ayroles au scénario. L’album rencontre un franc succès tant par la qualité du dessin que par celle de l’histoire. L’éditeur décide donc de lui proposer un projet nouveau : l’adaptation graphique du best-seller dans Jean Teulé « Je, François Villon ». Cet album sortira début novembre. Il est déjà très attendu.

 

Son style académique est d’une extrême élégance. Son trait est fin. Il travaille souvent, pour le moins, sur ses œuvres françaises, avec le coloriste Lorenzo Pieri qui sait mettre ses dessins en valeur. Luigi Critone est un des grands talents actuels de la Bande Dessinée italienne à moins que nous ne puissions déjà dire Française. L’Oncle Fumetti est en tout cas un de ses plus grands fans. Il l’a déjà rencontré en 2007 au Salon du livre de Paris lors d’une dédicace. Il avait été d’une belle disponibilité et d’une grande gentillesse

 

Sa bibliographie :

La Rose et La Croix T1 – La Confrérie – chez Soleil en Mars 2005

La Rose et La Croix T2 – Maître Dagélius – Chez Soleil en Août 2006

Sept Missionnaires chez Delcourt en février 2008

Je François Villon chez Delcourt en novembre 2011

 

Luigi Critone sera en dédicace à la FNAC Montparnasse le 2 novembre qu’on se le dise…

 

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